L’EXPO2015, qu’est ce que c’est ? C’est une centaine de pays qui viennent représentés leur savoirs-faire, dans un pavillon individuel ou collectif (des « clusters », concept inventé pour l’occasion et qui permet au pays les plus pauvres d’être présents), et qui tente de répondre à une problématique commune qui est cette année « nourrir la planète ». Pour nous, en deux jours, ce fut (en cumulé) 24 heures soit 40 km de marches, plusieurs heures dans des files d’attente (pour le Japon il y a eu jusqu’à quatre heures de queue, on ne l’a donc vu que de dehors !), une trentaine de pavillons visités, le choix de goûter la gastronomie de chaque pays représenté (pour nous c’était Iran, république Tchèque, Corée du Sud, Gabon et Ethiopie), des soirées en musique, des rencontres étonnantes… La seule chose, qu’il nous a manqué, et ça a son importance, c’est la réponse à la problématique. L’intérieur des pavillons tient souvent plus à la catégorie « office de tourisme » qu’à une réelle prise de position face à la question « nourrir la planète ». Voici en vrac et en images ce qu’on a aimé un peu, beaucoup….Vues d’ensemble de l’allée centrale  Des canaux ont été recréés, et se sont mués en lieu de repos. On a aimé : le pavillon du Bahreïn… … et aussi le pavillon du Saint-Siège. Le premier pour son architecture faite de courbes et de patios, le deuxième pour son architecture simple et pour sa capacité à répondre à la question posée « Nourrir la planète ».Couleurs en République Dominicaine Dans le « cluster » café, nous avons vécu des expériences à échelle humaine, notamment la cérémonie du café en Ethiopie.Notre repas éthiopien ! On a aimé cette belle installation dans le pavillon Espagne, faite d’une projection sur des assiettes !  Fanfare du dernier soir. On a moins aimé que Mac Donald ait son pavillon, mais on a rit de le voir côtoyer le Turkménistan et le QatarOn voit ici l’aspect office de tourisme des pavillons !On a aimé le pavillon Bresil, by night, et sa canopée de fils. Et on termine avec le pavillon Italie (que nous n’avons pas visité) et l’arbre de vie qui lui fait face.